Cette année, avec le rassemblement des communes, la messe de la Saint-Vincent a changé d’église … et c’est pour le plus grand des bonheurs de Madame Sociable !
Ce week-end est un week-end chargé pour Madame. Les festivités de la Saint-Vincent vont bien lui prendre les deux jours … Tout commence le samedi matin à 10h00 à Parpeçay. L’église est sublime, entièrement rénovée. La nef date du 12ème siècle, le Christ sur la croix du 17ème et tous les objets sont authentiquement du 19ème. Monsieur Viard a repeint tout l’intérieur, les murs, les plafonds, en respectant l’époque, une année de sa vie consacrée à la renaissance de ce bijou. Jugez par vous-mêmes avec ces quelques photos.
Une petite nouveauté pour la messe, une dame à la voix enchanteresse accompagne le prêtre, toujours aussi « funky » ! Madame apprécie ces moments de recueillement malgré le petit degré régnant dans l’église.
Elle fait l’impasse pour le verre de l’amitié, elle doit préparer le déjeuner et se rendre à son atelier de peinture. Elle devrait terminer sa toile intitulée « L’étagère », tout simplement, ou pourquoi pas « l’état j’erre » !
Ce soir, c’est dîner dansant à la salle des fêtes de Sainte Cécile. Parmi leurs amis, deux couples sont absents … ce n’est pas la grand forme … Madame a une pensée amicale pour eux. Monsieur Sourire et Madame Courage sont là et c’est parti pour plusieurs heures de franche rigolade. Au menu : jambon macédoine, filet mignon au maroilles et riz, salade fromage et galette. Tout pour le régime. Toujours le même couple pour chanter et Madame confirme, la chanteuse n’a toujours pas pris de cours de prononciation anglaise !
Monsieur fait « le cake » sur la piste, et Madame retrouve ses copines pour pousser la chansonnette des années 80 ! Les douze coups de minuit ont sonné depuis … il est temps de retrouver son lit !
Le réveil n’est pas facile … la voix un tantinet éraillée ! Ce midi c’est « tête de viau » ! Les quelques privilégiés dont font partie désormais Monsieur et Madame Sociable, se réunissent autour de la sainte table pour déguster la pousse d’épine maison, la terrine maison, la tête de veau concoctée par Pierre (une tuerie !), des crêpes maison. Bref, que du bonheur ! Sans oublier les petites chansons classiques (Jean Ferrat, et une classique du chnord, la pompe à m… !) et les petites histoires sous forme de poème de Colette, pleine de vérités …
Quand Madame se retrouve sur le chemin du retour vers la capitale, son cerveau est empli de beaux souvenirs …
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