Comment un petit boudin
Accroché à un filin
Se nourrissant d’un rien
Et seul face à son destin
Malgré ses couleurs vibrantes
Chatoyantes et attachantes
A ses rondeurs attrayantes
Des réponses urticantes
Et soudain de chrysalide
Au cocon sinistre et vide
S’extirpant de l’abside
Ce corps un tantinet livide