C’était un doux soir de mars
Je ne tenais plus sur place
Les lumières se sont éteintes
Il était là sans feintes
Alors j’ai fermé les yeux
Et pensé c’est merveilleux
Sa voix me faisait vibrer
La magie s’est installée
Deux heures intenses absolues
Qui m’ont comblées et émues
Pour ce beau rêve éveillé
Dans ma mémoire gravé
Merci
Poème que j’ai écrit le 13 mars 2005, après un concert d’Etienne Daho …